02 Mai 2022
L’épinette de Norvège
Tout comme l’épinette bleue du Colorado, l’épinette de Norvège fait un excellent arbre de Noël. Sa densité en fait aussi un arbre de choix pour produire des brise-vents.
Tout comme l’épinette bleue du Colorado, l’épinette de Norvège fait un excellent arbre de Noël. Sa densité en fait aussi un arbre de choix pour produire des brise-vents.
Un incontournable des arbres indigènes du continent américain est sans contredit le peuplier faux-tremble. En effet, il s’agit d’un des arbres les plus répandus aux États-Unis et au Canada.
Ses fleurs sont ce qui fait tout son spectacle, il s’agit de grappes rassemblant de nombreuses fleurs aux pétales allant du bleu au violet. Lorsque les fleurs tombent à la fin du printemps, elles forment un tapis coloré.
Le noyer amer, aussi classé parmi les caryers sous le nom de caryer cordiforme, est un arbre à fruits de pacanes indigène du sud du Québec et de l’Ontario. Parmi tous les caryers, il est le plus répandu au Canada.
Le saule pleureur, ou salix babylonica, marque l’imagination internationale depuis bien longtemps. Avec sa cime qui frôle le sol, son tronc parfois penché, il éveille une fascination presque mélancolique. Pour sa beauté féerique, il a été importé de l’Asie depuis plusieurs siècles. L’espèce du saule comprend plus de 400 variétés, mais la plus répandue au Canada est définitivement le saule pleureur.
Le pin blanc, conifère indigène du Québec, est plus présent au Canada qu’il ne l’était autrefois. Grâce à sa reprise facile et son utilité multiple en construction, il est devenu l’arbre de choix pour les repeuplements forestiers.
L’érable, étant l’emblème du Canada, rend réellement nos paysages uniques, et surtout, colorés dès qu’arrive l’automne. Si la plupart des arbres changent leurs feuilles du vert au brun à la saison froide, les érables donnent leurs éclats multicolores qui font de l’automne le plaisir qu’il est pour les gens d’ici.
L’agrile du frêne, introduit à Montréal en 2011, continue son progrès dans les régions du sud du Québec. Les municipalités se penchent sur les solutions les plus efficaces et les moins coûteuses pour régler le problème, mais y a-t-il de l’espoir?