25 Nov 2021
Le bouleau à papier
Aussi appelé le bouleau blanc, le bouleau à papier est un arbre indigène omniprésent au Canada. En effet, présent dans toutes les régions forestières du Canada et dans les forêts boréales.
Aussi appelé le bouleau blanc, le bouleau à papier est un arbre indigène omniprésent au Canada. En effet, présent dans toutes les régions forestières du Canada et dans les forêts boréales.
Avec la saison froide, viennent aussi la neige et le verglas, deux éléments lourds pour les arbres et qui peuvent provoquer des bris de branches et, en retour, causer des dommages à nos biens. Or, il est possible de réduire les risques liés aux intempéries hivernales avec les soins arboricoles appropriés.
Le sapin de Douglas, aussi connu sous le nom de pin d'Oregon, est l’un des arbres les plus grands du Canada. Il ne figure donc pas ici comme arbre à recommander pour le jardin, mais comme essence remarquable et digne de mention
Le saule pleureur, ou salix babylonica, marque l’imagination internationale depuis bien longtemps. Avec sa cime qui frôle le sol, son tronc parfois penché, il éveille une fascination presque mélancolique. Pour sa beauté féerique, il a été importé de l’Asie depuis plusieurs siècles. L’espèce du saule comprend plus de 400 variétés, mais la plus répandue au Canada est définitivement le saule pleureur.
L’érable à Giguère est très accommodant. Au soleil, ou à la mi-ombre, il saura trouver la lumière en se dirigeant vers celle-ci. Il tolère tout type de pollution, y compris le sel de déglaçage.
On peut observer deux types de maladie du feuillage chez les arbres : les maladies dites biotiques causées par un organisme vivant comme les insectes ou les champignons et les maladies abiotiques dues à une cause extérieure qui n'est pas nécessairement un organisme vivant comme la sécheresse ou un pesticide.
Une autre maladie fait son arrivée, après la maladie hollandaise de l'Orme et l'agrile du frêne, nous devons maintenant faire face à une maladie qui a le potentiel de ruiner des vergers entiers de culture de pommes et de poires. Présentement, la région des Basses-Laurentides fait l'objet d'inspections et d'interventions rigoureuses afin de limiter la propagation de la maladie.
Le mode de vie urbain dans lequel nous vivons a laissé comme héritage, pour bien des gens, une phobie innée des insectes. Bien que l'on souhaite vivre dans un environnement aseptisé de cette vermine à six pattes, les insectes ont un rôle très important dans l'équilibre biologique de notre planète, et même notre jardin. Avec un peu de travail mental pour contrer notre dédain, il est possible d'arriver à contrôler leurs populations sans les exterminer complètement et vivre en parfaite harmonie. Bien évidemment la lutte biologique est prioritaire et les moyens chimiques ne seront pas abordés ici.
Comme tout le monde, je suis chez moi en confinement, respectant les règles pour combattre la pandémie. Je ne peux m’empêcher de faire le parallèle entre la COVID-19 (le coronavirus) et les maladies ravageuses comme l’agrile du frêne. Ce qui ressort, c’est le principe de distanciation sociale, et ce principe s’applique presque à la lettre à la polyarboriculture, qui serait la meilleure solution pour prévenir la propagation des prochaines maladies des arbres.
Il existe de nombreux arbres que l'on peut choisir pour son jardin, mais il peut être difficile de choisir le bon juste en regardant une photo accrochée sur un petit arbre dans une pépinière. Plusieurs considérations entrent en ligne de compte. Le choix judicieux d'un arbre en fonction de son emplacement peut, à grande échelle, améliorer la valeur d'une propriété, ainsi que la qualité de vie des citoyens.